Main dominée par le cur
Cur dominé par le lion
Lion dominé par loiseau
Loiseau quefface un nuage
Le lion que le désert grise
Le cur que la mort habite
La main refermée en vain
Aucun secours tout méchappe
Je vois ce qui disparaît
Je comprends que je nai rien
Et je mimagine ŕ peine
Entre les murs une absence
Puis lexil dans les ténčbres
Les yeux purs la tęte inerte.
(Paul Éluard, Poésie et vérité, 1942-1943)
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