Le jour pleure blotti
dans le coin de la vie
où il n’a pas d’avenir
à cause de la postérité
qui règne sans souvenir.
Piétiné par le vent,
les tempêtes et les orages,
il attend toujours l’accalmie qui soulage
et puis le soleil qui l’embrasse
et le couvre de baisers...
Il y a de la chaleur,
des fleurs
et des sourires
qui fost croire à l’avenir
surtout quand les étoiles
le carressent sous le voile de nuit
comme dans les contes de fées
ou il n’y a pas de caledrier...
Mais le matin vient toujours
sous haine, mais sans amour,
pour annoncer la même postérité
ou il n’y a ni mort ni vie,
pas d’avenir,
mais selement
la continuité dans l’infini.
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