Un conte de fees?
Un conte,
un conte de fées
ou plutot de copeaux
d’un rêve aplani sans cesse
par le rabot d’une réalité
jamais contestée.
Les espoirs mouraient
sur la surface rabotée
de la douleur
et tout recommençait
avec un rêve aplani,
ses copeaux souvent mouillés de larmes
jetée dans l’oubli.
Et quand la realité trompée
égarait son rabot,
le rêve,
seigneur des larmes de joie,
de rire
et des soupirs,
s’agenouillait en amoureaux
devan l’éternite.
C’etait un conte de fées
jamais conté,
jamais écrit,
mais toujour vécu...
C’était la vie...
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