Un visage ŕ la fin du jour
Un berceau dans les feuilles mortes du jour
Un bouquet de pluie nue
Tout soleil caché
Toute source des sources au fond de leau
Tout miroir des miroirs brisé
Un visage dans les balances du silence
Un caillou parmi dautres cailloux
Pour les frondes des derničres lueurs du jour
Un visage semblable ŕ tous les visages oubliés.
(Paul Éluard, La Vie immédiate, 1932)
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