Pas d’aube,
nuit,
pas de bruit de vie,
un sourd silenca.
Personne ici,
personne à la porte,
totale absence.
Pas de maison,
pas de meubles,
de tableaux
classiques ou modernes.
Des souvenirs estompés,
l’horologe arrêtée,
pas d’espace,
rien à sa place,
le néant,
le passé béant
devant
sans yeux,
sans visage,
stupide, mesquin...
...la fin...
Quelque part l’espoir
clandestin,
maquisard
contre le fin
et demain,
demain
avec le coeur
vainqueur.
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